Actualités culturelles

  Au théâtre de Bourg-en-Bresse prochainement :

• le 28 mars à 20h : Théâtre : Flemme
• le 29 mars à 21h15 : Rencontres : Le Bal
• le 3 avril à 20h : Théâtre : Jean-Clone

  Au théâtre Scène national de Mâcon prochainement :

• le 30 mars à 16h : Musique : Orchestre symphonique de Mâcon
• les 2 et 5 avril à 20h : Théâtre : Le voleur d'animaux
• le 8 avril à 20h : Théâtre : Une Maison de Poupée

  Au cinéma de Châtillon-sur-Chalaronne :

• Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan, le vendredi 28 à 18h15, le samedi 29 à 20h45, le dimanche 30 à 16h
• Mickey 17, le vendredi 28 à 20h15 (VO), le samedi 29 à 16h (VF)
• On ira, le samedi 29 à 18h45, le dimanche 30 à 14h
• Black Dog, le dimanche 30 à 18h (VO)

L'info de la semaine : 300

  Somme de dix nombres premiers consécutifs, de 13 à 47, le nombre 300 est surtout resté dans l'histoire pour désigner les Spartiates qui résistèrent aux Perses pendant la bataille des Thermopyles, en 480 av. J.C. C'est l'écrivain Hérodote, considéré comme le premier historien, contemporain de ces événements (né en 484 av. J.C.).

  Au nord-ouest d'Athènes, près du Golfe Maliaque, la bataille des Thermopyles ("portes chaudes" en grec) oppose alors l'armée grecque, qui défend son territoire contre les Perses de l'Empire achéménide (qui comprend la Libye, le nord de l'Egypte, tout l'Empire perse du nord-ouest de l'Inde jusqu'aux côtes occidentales de la Turquie actuelle, avec des terres en Thrace et en Macédoine). Les Perses, menés par le roi Xerxès Ier, veulent conquérir la Grèce entièrement.

  Sans armée suffisante pour contenir les Perses dans une bataille classique, les Grecs décident de défendre un défilé étroit, les fameuses portes chaudes des Thermopyles, entre la mer d'un côté et les montagnes de l'autre. Tandis que 70 000 à 300 000 soldats perses avancent, 5 000 à 6 000 hommes leur font face pour l'armée grecque. Et entre replis et trahisons, il ne reste selon la légende que 300 Spartiates sous les ordre de Léonidas Ier pour contrer les Perses. Si les Perses entrent tout de même, et si Léonidas perd la vie, la bataille reste un symbole de bravoure devant l'envahisseur.

Léonidas aux Thermopyles, par Jacques-Louis David (1814)

Planning prévisionnel du CDI

• Le téléphone
• Les sept merveilles du monde antique
• Namazu, le poisson qui secoue le Japon
• Amelia Earhart, une pionnière de l'aviation
• A Chambord, un château de la Renaissance

• Vers le tout-numérique ?
• Médiations artistiques et diversité culturelle en bibliothèque
• Accueillir au CDI
• Le MUCEM, la Méditerranée au centre
• Des mots pour le dire, ou le secret en littérature de jeunesse

• A l'école des pros de l'impro (enquête)
• Les super-pouvoirs des poissons (dossier)

• Les règles, une histoire mère-fille ?
• Joséphine Pencalet, 1re femme élue (1925)